La dormeuse du V.A.L
C’est un trou de verdure où chante le RER
Accrochant follement aux herbes les haillons
Des gens
Pour rentrer chez elle
En sortant de la station
Elle doit prendre la passerelle
Juste après le pont
Remonter une ruelle
Longer les wagons
Pas très loin d’un bordel
Où boivent des poivrots
Rejoindre la rue chancel
Puis le parc Buisson
Qu’elle traverse en gazelle
Pour rejoindre sa maison
Elle entend derrière-elle
Des pas comme un démon
Se retourne elle appelle
Aperçoit dans le fond
Une ombre qui vient vers elle
Aussi vite qu’un canon
Accélère vers la chapelle
Change de direction
Se trompe rue courcelle
Se retrouve aux wagons
S’arrête dresse l’oreille
Coupe sa respiration
Elle a peur
Elle courre
Elle crie
Au secours
Elle le voit
Face à elle
Demi tour
Il court
Il la traque
L’agrippe
L’attrape
Elle s’échappe
Elle dérape
Elle tombe
Sans secours
Se relève
Elle a peur
Elle hurle
Il la rattrape
Elle pleure
Il la matraque
Elle craque
C’est un trou de verdure où ne chante aucune rivière
Accrochant follement aux herbes ses haillons
D’argent ;
Elle se plie, s’avachit
Il se jette sur elle
Comme un fauve en furie
Tire ses cheveux la traine
Dans les herbes hautes
Elle s’étouffe impuissante
Les cailloux brûlent ses cotes
Est-elle encore vivante
Elle se débat, s’épuise
Il la cogne dans la nuit
Tiens ses mains la maitrise
La lune austère luit…
Il lui arrache sa robe
Le vent déchire sa peau
Il la traite de salope
Elle voit son tombeau
Les fleurs de son enfance
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
La dormeuse du V.A.L
C’est un trou de verdure où chante le RER
Accrochant follement aux herbes les haillons
Des gens
Pour rentrer chez elle
En sortant de la station
Elle doit prendre la passerelle
Juste après le pont
Remonter une ruelle
Longer les wagons
Pas très loin d’un bordel
Où boivent des poivrots
Rejoindre la rue chancel
Puis le parc Buisson
Qu’elle traverse en gazelle
Pour rejoindre sa maison
Elle entend derrière-elle
Des pas comme un démon
Se retourne elle appelle
Aperçoit dans le fond
Une ombre qui vient vers elle
Aussi vite qu’un canon
Accélère vers la chapelle
Change de direction
Se trompe rue courcelle
Se retrouve aux wagons
S’arrête dresse l’oreille
Coupe sa respiration
Elle a peur
Elle courre
Elle crie
Au secours
Elle le voit
Face à elle
Demi tour
Il court
Il la traque
L’agrippe
L’attrape
Elle s’échappe
Elle dérape
Elle tombe
Sans secours
Se relève
Elle a peur
Elle hurle
Il la rattrape
Elle pleure
Il la matraque
Elle craque
C’est un trou de verdure où ne chante aucune rivière
Accrochant follement aux herbes ses haillons
D’argent ;
Elle se plie, s’avachit
Il se jette sur elle
Comme un fauve en furie
Tire ses cheveux la traine
Dans les herbes hautes
Elle s’étouffe impuissante
Les cailloux brûlent ses cotes
Est-elle encore vivante
Elle se débat, s’épuise
Il la cogne dans la nuit
Tiens ses mains la maitrise
La lune austère luit…
Il lui arrache sa robe
Le vent déchire sa peau
Il la traite de salope
Elle voit son tombeau
Les fleurs de son enfance
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
La dormeuse du V.A.L
C’est un trou de verdure où chante le RER
Accrochant follement aux herbes les haillons
Des gens
Pour rentrer chez elle
En sortant de la station
Elle doit prendre la passerelle
Juste après le pont
Remonter une ruelle
Longer les wagons
Pas très loin d’un bordel
Où boivent des poivrots
Rejoindre la rue chancel
Puis le parc Buisson
Qu’elle traverse en gazelle
Pour rejoindre sa maison
Elle entend derrière-elle
Des pas comme un démon
Se retourne elle appelle
Aperçoit dans le fond
Une ombre qui vient vers elle
Aussi vite qu’un canon
Accélère vers la chapelle
Change de direction
Se trompe rue courcelle
Se retrouve aux wagons
S’arrête dresse l’oreille
Coupe sa respiration
Elle a peur
Elle courre
Elle crie
Au secours
Elle le voit
Face à elle
Demi tour
Il court
Il la traque
L’agrippe
L’attrape
Elle s’échappe
Elle dérape
Elle tombe
Sans secours
Se relève
Elle a peur
Elle hurle
Il la rattrape
Elle pleure
Il la matraque
Elle craque
C’est un trou de verdure où ne chante aucune rivière
Accrochant follement aux herbes ses haillons
D’argent ;
Elle se plie, s’avachit
Il se jette sur elle
Comme un fauve en furie
Tire ses cheveux la traine
Dans les herbes hautes
Elle s’étouffe impuissante
Les cailloux brûlent ses cotes
Est-elle encore vivante
Elle se débat, s’épuise
Il la cogne dans la nuit
Tiens ses mains la maitrise
La lune austère luit…
Il lui arrache sa robe
Le vent déchire sa peau
Il la traite de salope
Elle voit son tombeau
Les fleurs de son enfance
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
C’est un trou de verdure où chante le RER
Accrochant follement aux herbes les haillons
Des gens
Pour rentrer chez elle
En sortant de la station
Elle doit prendre la passerelle
Juste après le pont
Remonter une ruelle
Longer les wagons
Pas très loin d’un bordel
Où boivent des poivrots
Rejoindre la rue chancel
Puis le parc Buisson
Qu’elle traverse en gazelle
Pour rejoindre sa maison
Elle entend derrière-elle
Des pas comme un démon
Se retourne elle appelle
Aperçoit dans le fond
Une ombre qui vient vers elle
Aussi vite qu’un canon
Accélère vers la chapelle
Change de direction
Se trompe rue courcelle
Se retrouve aux wagons
S’arrête dresse l’oreille
Coupe sa respiration
Elle a peur
Elle courre
Elle crie
Au secours
Elle le voit
Face à elle
Demi tour
Il court
Il la traque
L’agrippe
L’attrape
Elle s’échappe
Elle dérape
Elle tombe
Sans secours
Se relève
Elle a peur
Elle hurle
Il la rattrape
Elle pleure
Il la matraque
Elle craque
C’est un trou de verdure où ne chante aucune rivière
Accrochant follement aux herbes ses haillons
D’argent ;
Elle se plie, s’avachit
Il se jette sur elle
Comme un fauve en furie
Tire ses cheveux la traine
Dans les herbes hautes
Elle s’étouffe impuissante
Les cailloux brûlent ses cotes
Est-elle encore vivante
Elle se débat, s’épuise
Il la cogne dans la nuit
Tiens ses mains la maitrise
La lune austère luit…
Il lui arrache sa robe
Le vent déchire sa peau
Il la traite de salope
Elle voit son tombeau
Les fleurs de son enfance
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Des gens
Pour rentrer chez elle
En sortant de la station
Elle doit prendre la passerelle
Juste après le pont
Remonter une ruelle
Longer les wagons
Pas très loin d’un bordel
Où boivent des poivrots
Rejoindre la rue chancel
Puis le parc Buisson
Qu’elle traverse en gazelle
Pour rejoindre sa maison
Elle entend derrière-elle
Des pas comme un démon
Se retourne elle appelle
Aperçoit dans le fond
Une ombre qui vient vers elle
Aussi vite qu’un canon
Accélère vers la chapelle
Change de direction
Se trompe rue courcelle
Se retrouve aux wagons
S’arrête dresse l’oreille
Coupe sa respiration
Elle a peur
Elle courre
Elle crie
Au secours
Elle le voit
Face à elle
Demi tour
Il court
Il la traque
L’agrippe
L’attrape
Elle s’échappe
Elle dérape
Elle tombe
Sans secours
Se relève
Elle a peur
Elle hurle
Il la rattrape
Elle pleure
Il la matraque
Elle craque
C’est un trou de verdure où ne chante aucune rivière
Accrochant follement aux herbes ses haillons
D’argent ;
Elle se plie, s’avachit
Il se jette sur elle
Comme un fauve en furie
Tire ses cheveux la traine
Dans les herbes hautes
Elle s’étouffe impuissante
Les cailloux brûlent ses cotes
Est-elle encore vivante
Elle se débat, s’épuise
Il la cogne dans la nuit
Tiens ses mains la maitrise
La lune austère luit…
Il lui arrache sa robe
Le vent déchire sa peau
Il la traite de salope
Elle voit son tombeau
Les fleurs de son enfance
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Pour rentrer chez elle
En sortant de la station
Elle doit prendre la passerelle
Juste après le pont
Remonter une ruelle
Longer les wagons
Pas très loin d’un bordel
Où boivent des poivrots
Rejoindre la rue chancel
Puis le parc Buisson
Qu’elle traverse en gazelle
Pour rejoindre sa maison
Elle entend derrière-elle
Des pas comme un démon
Se retourne elle appelle
Aperçoit dans le fond
Une ombre qui vient vers elle
Aussi vite qu’un canon
Accélère vers la chapelle
Change de direction
Se trompe rue courcelle
Se retrouve aux wagons
S’arrête dresse l’oreille
Coupe sa respiration
Elle a peur
Elle courre
Elle crie
Au secours
Elle le voit
Face à elle
Demi tour
Il court
Il la traque
L’agrippe
L’attrape
Elle s’échappe
Elle dérape
Elle tombe
Sans secours
Se relève
Elle a peur
Elle hurle
Il la rattrape
Elle pleure
Il la matraque
Elle craque
C’est un trou de verdure où ne chante aucune rivière
Accrochant follement aux herbes ses haillons
D’argent ;
Elle se plie, s’avachit
Il se jette sur elle
Comme un fauve en furie
Tire ses cheveux la traine
Dans les herbes hautes
Elle s’étouffe impuissante
Les cailloux brûlent ses cotes
Est-elle encore vivante
Elle se débat, s’épuise
Il la cogne dans la nuit
Tiens ses mains la maitrise
La lune austère luit…
Il lui arrache sa robe
Le vent déchire sa peau
Il la traite de salope
Elle voit son tombeau
Les fleurs de son enfance
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Elle doit prendre la passerelle
Juste après le pont
Remonter une ruelle
Longer les wagons
Pas très loin d’un bordel
Où boivent des poivrots
Rejoindre la rue chancel
Puis le parc Buisson
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Des pas comme un démon
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Aperçoit dans le fond
Une ombre qui vient vers elle
Aussi vite qu’un canon
Accélère vers la chapelle
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Se trompe rue courcelle
Se retrouve aux wagons
S’arrête dresse l’oreille
Coupe sa respiration
Elle a peur
Elle courre
Elle crie
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Elle le voit
Face à elle
Demi tour
Il court
Il la traque
L’agrippe
L’attrape
Elle s’échappe
Elle dérape
Elle tombe
Sans secours
Se relève
Elle a peur
Elle hurle
Il la rattrape
Elle pleure
Il la matraque
Elle craque
C’est un trou de verdure où ne chante aucune rivière
Accrochant follement aux herbes ses haillons
D’argent ;
Elle se plie, s’avachit
Il se jette sur elle
Comme un fauve en furie
Tire ses cheveux la traine
Dans les herbes hautes
Elle s’étouffe impuissante
Les cailloux brûlent ses cotes
Est-elle encore vivante
Elle se débat, s’épuise
Il la cogne dans la nuit
Tiens ses mains la maitrise
La lune austère luit…
Il lui arrache sa robe
Le vent déchire sa peau
Il la traite de salope
Elle voit son tombeau
Les fleurs de son enfance
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
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Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Remonter une ruelle
Longer les wagons
Pas très loin d’un bordel
Où boivent des poivrots
Rejoindre la rue chancel
Puis le parc Buisson
Qu’elle traverse en gazelle
Pour rejoindre sa maison
Elle entend derrière-elle
Des pas comme un démon
Se retourne elle appelle
Aperçoit dans le fond
Une ombre qui vient vers elle
Aussi vite qu’un canon
Accélère vers la chapelle
Change de direction
Se trompe rue courcelle
Se retrouve aux wagons
S’arrête dresse l’oreille
Coupe sa respiration
Elle a peur
Elle courre
Elle crie
Au secours
Elle le voit
Face à elle
Demi tour
Il court
Il la traque
L’agrippe
L’attrape
Elle s’échappe
Elle dérape
Elle tombe
Sans secours
Se relève
Elle a peur
Elle hurle
Il la rattrape
Elle pleure
Il la matraque
Elle craque
C’est un trou de verdure où ne chante aucune rivière
Accrochant follement aux herbes ses haillons
D’argent ;
Elle se plie, s’avachit
Il se jette sur elle
Comme un fauve en furie
Tire ses cheveux la traine
Dans les herbes hautes
Elle s’étouffe impuissante
Les cailloux brûlent ses cotes
Est-elle encore vivante
Elle se débat, s’épuise
Il la cogne dans la nuit
Tiens ses mains la maitrise
La lune austère luit…
Il lui arrache sa robe
Le vent déchire sa peau
Il la traite de salope
Elle voit son tombeau
Les fleurs de son enfance
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Pas très loin d’un bordel
Où boivent des poivrots
Rejoindre la rue chancel
Puis le parc Buisson
Qu’elle traverse en gazelle
Pour rejoindre sa maison
Elle entend derrière-elle
Des pas comme un démon
Se retourne elle appelle
Aperçoit dans le fond
Une ombre qui vient vers elle
Aussi vite qu’un canon
Accélère vers la chapelle
Change de direction
Se trompe rue courcelle
Se retrouve aux wagons
S’arrête dresse l’oreille
Coupe sa respiration
Elle a peur
Elle courre
Elle crie
Au secours
Elle le voit
Face à elle
Demi tour
Il court
Il la traque
L’agrippe
L’attrape
Elle s’échappe
Elle dérape
Elle tombe
Sans secours
Se relève
Elle a peur
Elle hurle
Il la rattrape
Elle pleure
Il la matraque
Elle craque
C’est un trou de verdure où ne chante aucune rivière
Accrochant follement aux herbes ses haillons
D’argent ;
Elle se plie, s’avachit
Il se jette sur elle
Comme un fauve en furie
Tire ses cheveux la traine
Dans les herbes hautes
Elle s’étouffe impuissante
Les cailloux brûlent ses cotes
Est-elle encore vivante
Elle se débat, s’épuise
Il la cogne dans la nuit
Tiens ses mains la maitrise
La lune austère luit…
Il lui arrache sa robe
Le vent déchire sa peau
Il la traite de salope
Elle voit son tombeau
Les fleurs de son enfance
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Rejoindre la rue chancel
Puis le parc Buisson
Qu’elle traverse en gazelle
Pour rejoindre sa maison
Elle entend derrière-elle
Des pas comme un démon
Se retourne elle appelle
Aperçoit dans le fond
Une ombre qui vient vers elle
Aussi vite qu’un canon
Accélère vers la chapelle
Change de direction
Se trompe rue courcelle
Se retrouve aux wagons
S’arrête dresse l’oreille
Coupe sa respiration
Elle a peur
Elle courre
Elle crie
Au secours
Elle le voit
Face à elle
Demi tour
Il court
Il la traque
L’agrippe
L’attrape
Elle s’échappe
Elle dérape
Elle tombe
Sans secours
Se relève
Elle a peur
Elle hurle
Il la rattrape
Elle pleure
Il la matraque
Elle craque
C’est un trou de verdure où ne chante aucune rivière
Accrochant follement aux herbes ses haillons
D’argent ;
Elle se plie, s’avachit
Il se jette sur elle
Comme un fauve en furie
Tire ses cheveux la traine
Dans les herbes hautes
Elle s’étouffe impuissante
Les cailloux brûlent ses cotes
Est-elle encore vivante
Elle se débat, s’épuise
Il la cogne dans la nuit
Tiens ses mains la maitrise
La lune austère luit…
Il lui arrache sa robe
Le vent déchire sa peau
Il la traite de salope
Elle voit son tombeau
Les fleurs de son enfance
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Qu’elle traverse en gazelle
Pour rejoindre sa maison
Elle entend derrière-elle
Des pas comme un démon
Se retourne elle appelle
Aperçoit dans le fond
Une ombre qui vient vers elle
Aussi vite qu’un canon
Accélère vers la chapelle
Change de direction
Se trompe rue courcelle
Se retrouve aux wagons
S’arrête dresse l’oreille
Coupe sa respiration
Elle a peur
Elle courre
Elle crie
Au secours
Elle le voit
Face à elle
Demi tour
Il court
Il la traque
L’agrippe
L’attrape
Elle s’échappe
Elle dérape
Elle tombe
Sans secours
Se relève
Elle a peur
Elle hurle
Il la rattrape
Elle pleure
Il la matraque
Elle craque
C’est un trou de verdure où ne chante aucune rivière
Accrochant follement aux herbes ses haillons
D’argent ;
Elle se plie, s’avachit
Il se jette sur elle
Comme un fauve en furie
Tire ses cheveux la traine
Dans les herbes hautes
Elle s’étouffe impuissante
Les cailloux brûlent ses cotes
Est-elle encore vivante
Elle se débat, s’épuise
Il la cogne dans la nuit
Tiens ses mains la maitrise
La lune austère luit…
Il lui arrache sa robe
Le vent déchire sa peau
Il la traite de salope
Elle voit son tombeau
Les fleurs de son enfance
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Elle entend derrière-elle
Des pas comme un démon
Se retourne elle appelle
Aperçoit dans le fond
Une ombre qui vient vers elle
Aussi vite qu’un canon
Accélère vers la chapelle
Change de direction
Se trompe rue courcelle
Se retrouve aux wagons
S’arrête dresse l’oreille
Coupe sa respiration
Elle a peur
Elle courre
Elle crie
Au secours
Elle le voit
Face à elle
Demi tour
Il court
Il la traque
L’agrippe
L’attrape
Elle s’échappe
Elle dérape
Elle tombe
Sans secours
Se relève
Elle a peur
Elle hurle
Il la rattrape
Elle pleure
Il la matraque
Elle craque
C’est un trou de verdure où ne chante aucune rivière
Accrochant follement aux herbes ses haillons
D’argent ;
Elle se plie, s’avachit
Il se jette sur elle
Comme un fauve en furie
Tire ses cheveux la traine
Dans les herbes hautes
Elle s’étouffe impuissante
Les cailloux brûlent ses cotes
Est-elle encore vivante
Elle se débat, s’épuise
Il la cogne dans la nuit
Tiens ses mains la maitrise
La lune austère luit…
Il lui arrache sa robe
Le vent déchire sa peau
Il la traite de salope
Elle voit son tombeau
Les fleurs de son enfance
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Des pas comme un démon
Se retourne elle appelle
Aperçoit dans le fond
Une ombre qui vient vers elle
Aussi vite qu’un canon
Accélère vers la chapelle
Change de direction
Se trompe rue courcelle
Se retrouve aux wagons
S’arrête dresse l’oreille
Coupe sa respiration
Elle a peur
Elle courre
Elle crie
Au secours
Elle le voit
Face à elle
Demi tour
Il court
Il la traque
L’agrippe
L’attrape
Elle s’échappe
Elle dérape
Elle tombe
Sans secours
Se relève
Elle a peur
Elle hurle
Il la rattrape
Elle pleure
Il la matraque
Elle craque
C’est un trou de verdure où ne chante aucune rivière
Accrochant follement aux herbes ses haillons
D’argent ;
Elle se plie, s’avachit
Il se jette sur elle
Comme un fauve en furie
Tire ses cheveux la traine
Dans les herbes hautes
Elle s’étouffe impuissante
Les cailloux brûlent ses cotes
Est-elle encore vivante
Elle se débat, s’épuise
Il la cogne dans la nuit
Tiens ses mains la maitrise
La lune austère luit…
Il lui arrache sa robe
Le vent déchire sa peau
Il la traite de salope
Elle voit son tombeau
Les fleurs de son enfance
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Aperçoit dans le fond
Une ombre qui vient vers elle
Aussi vite qu’un canon
Accélère vers la chapelle
Change de direction
Se trompe rue courcelle
Se retrouve aux wagons
S’arrête dresse l’oreille
Coupe sa respiration
Elle a peur
Elle courre
Elle crie
Au secours
Elle le voit
Face à elle
Demi tour
Il court
Il la traque
L’agrippe
L’attrape
Elle s’échappe
Elle dérape
Elle tombe
Sans secours
Se relève
Elle a peur
Elle hurle
Il la rattrape
Elle pleure
Il la matraque
Elle craque
C’est un trou de verdure où ne chante aucune rivière
Accrochant follement aux herbes ses haillons
D’argent ;
Elle se plie, s’avachit
Il se jette sur elle
Comme un fauve en furie
Tire ses cheveux la traine
Dans les herbes hautes
Elle s’étouffe impuissante
Les cailloux brûlent ses cotes
Est-elle encore vivante
Elle se débat, s’épuise
Il la cogne dans la nuit
Tiens ses mains la maitrise
La lune austère luit…
Il lui arrache sa robe
Le vent déchire sa peau
Il la traite de salope
Elle voit son tombeau
Les fleurs de son enfance
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Aussi vite qu’un canon
Accélère vers la chapelle
Change de direction
Se trompe rue courcelle
Se retrouve aux wagons
S’arrête dresse l’oreille
Coupe sa respiration
Elle a peur
Elle courre
Elle crie
Au secours
Elle le voit
Face à elle
Demi tour
Il court
Il la traque
L’agrippe
L’attrape
Elle s’échappe
Elle dérape
Elle tombe
Sans secours
Se relève
Elle a peur
Elle hurle
Il la rattrape
Elle pleure
Il la matraque
Elle craque
C’est un trou de verdure où ne chante aucune rivière
Accrochant follement aux herbes ses haillons
D’argent ;
Elle se plie, s’avachit
Il se jette sur elle
Comme un fauve en furie
Tire ses cheveux la traine
Dans les herbes hautes
Elle s’étouffe impuissante
Les cailloux brûlent ses cotes
Est-elle encore vivante
Elle se débat, s’épuise
Il la cogne dans la nuit
Tiens ses mains la maitrise
La lune austère luit…
Il lui arrache sa robe
Le vent déchire sa peau
Il la traite de salope
Elle voit son tombeau
Les fleurs de son enfance
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Change de direction
Se trompe rue courcelle
Se retrouve aux wagons
S’arrête dresse l’oreille
Coupe sa respiration
Elle a peur
Elle courre
Elle crie
Au secours
Elle le voit
Face à elle
Demi tour
Il court
Il la traque
L’agrippe
L’attrape
Elle s’échappe
Elle dérape
Elle tombe
Sans secours
Se relève
Elle a peur
Elle hurle
Il la rattrape
Elle pleure
Il la matraque
Elle craque
C’est un trou de verdure où ne chante aucune rivière
Accrochant follement aux herbes ses haillons
D’argent ;
Elle se plie, s’avachit
Il se jette sur elle
Comme un fauve en furie
Tire ses cheveux la traine
Dans les herbes hautes
Elle s’étouffe impuissante
Les cailloux brûlent ses cotes
Est-elle encore vivante
Elle se débat, s’épuise
Il la cogne dans la nuit
Tiens ses mains la maitrise
La lune austère luit…
Il lui arrache sa robe
Le vent déchire sa peau
Il la traite de salope
Elle voit son tombeau
Les fleurs de son enfance
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
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De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Se retrouve aux wagons
S’arrête dresse l’oreille
Coupe sa respiration
Elle a peur
Elle courre
Elle crie
Au secours
Elle le voit
Face à elle
Demi tour
Il court
Il la traque
L’agrippe
L’attrape
Elle s’échappe
Elle dérape
Elle tombe
Sans secours
Se relève
Elle a peur
Elle hurle
Il la rattrape
Elle pleure
Il la matraque
Elle craque
C’est un trou de verdure où ne chante aucune rivière
Accrochant follement aux herbes ses haillons
D’argent ;
Elle se plie, s’avachit
Il se jette sur elle
Comme un fauve en furie
Tire ses cheveux la traine
Dans les herbes hautes
Elle s’étouffe impuissante
Les cailloux brûlent ses cotes
Est-elle encore vivante
Elle se débat, s’épuise
Il la cogne dans la nuit
Tiens ses mains la maitrise
La lune austère luit…
Il lui arrache sa robe
Le vent déchire sa peau
Il la traite de salope
Elle voit son tombeau
Les fleurs de son enfance
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Coupe sa respiration
Elle a peur
Elle courre
Elle crie
Au secours
Elle le voit
Face à elle
Demi tour
Il court
Il la traque
L’agrippe
L’attrape
Elle s’échappe
Elle dérape
Elle tombe
Sans secours
Se relève
Elle a peur
Elle hurle
Il la rattrape
Elle pleure
Il la matraque
Elle craque
C’est un trou de verdure où ne chante aucune rivière
Accrochant follement aux herbes ses haillons
D’argent ;
Elle se plie, s’avachit
Il se jette sur elle
Comme un fauve en furie
Tire ses cheveux la traine
Dans les herbes hautes
Elle s’étouffe impuissante
Les cailloux brûlent ses cotes
Est-elle encore vivante
Elle se débat, s’épuise
Il la cogne dans la nuit
Tiens ses mains la maitrise
La lune austère luit…
Il lui arrache sa robe
Le vent déchire sa peau
Il la traite de salope
Elle voit son tombeau
Les fleurs de son enfance
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Elle a peur
Elle courre
Elle crie
Au secours
Elle le voit
Face à elle
Demi tour
Il court
Il la traque
L’agrippe
L’attrape
Elle s’échappe
Elle dérape
Elle tombe
Sans secours
Se relève
Elle a peur
Elle hurle
Il la rattrape
Elle pleure
Il la matraque
Elle craque
C’est un trou de verdure où ne chante aucune rivière
Accrochant follement aux herbes ses haillons
D’argent ;
Elle se plie, s’avachit
Il se jette sur elle
Comme un fauve en furie
Tire ses cheveux la traine
Dans les herbes hautes
Elle s’étouffe impuissante
Les cailloux brûlent ses cotes
Est-elle encore vivante
Elle se débat, s’épuise
Il la cogne dans la nuit
Tiens ses mains la maitrise
La lune austère luit…
Il lui arrache sa robe
Le vent déchire sa peau
Il la traite de salope
Elle voit son tombeau
Les fleurs de son enfance
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Elle crie
Au secours
Elle le voit
Face à elle
Demi tour
Il court
Il la traque
L’agrippe
L’attrape
Elle s’échappe
Elle dérape
Elle tombe
Sans secours
Se relève
Elle a peur
Elle hurle
Il la rattrape
Elle pleure
Il la matraque
Elle craque
C’est un trou de verdure où ne chante aucune rivière
Accrochant follement aux herbes ses haillons
D’argent ;
Elle se plie, s’avachit
Il se jette sur elle
Comme un fauve en furie
Tire ses cheveux la traine
Dans les herbes hautes
Elle s’étouffe impuissante
Les cailloux brûlent ses cotes
Est-elle encore vivante
Elle se débat, s’épuise
Il la cogne dans la nuit
Tiens ses mains la maitrise
La lune austère luit…
Il lui arrache sa robe
Le vent déchire sa peau
Il la traite de salope
Elle voit son tombeau
Les fleurs de son enfance
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Elle le voit
Face à elle
Demi tour
Il court
Il la traque
L’agrippe
L’attrape
Elle s’échappe
Elle dérape
Elle tombe
Sans secours
Se relève
Elle a peur
Elle hurle
Il la rattrape
Elle pleure
Il la matraque
Elle craque
C’est un trou de verdure où ne chante aucune rivière
Accrochant follement aux herbes ses haillons
D’argent ;
Elle se plie, s’avachit
Il se jette sur elle
Comme un fauve en furie
Tire ses cheveux la traine
Dans les herbes hautes
Elle s’étouffe impuissante
Les cailloux brûlent ses cotes
Est-elle encore vivante
Elle se débat, s’épuise
Il la cogne dans la nuit
Tiens ses mains la maitrise
La lune austère luit…
Il lui arrache sa robe
Le vent déchire sa peau
Il la traite de salope
Elle voit son tombeau
Les fleurs de son enfance
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Demi tour
Il court
Il la traque
L’agrippe
L’attrape
Elle s’échappe
Elle dérape
Elle tombe
Sans secours
Se relève
Elle a peur
Elle hurle
Il la rattrape
Elle pleure
Il la matraque
Elle craque
C’est un trou de verdure où ne chante aucune rivière
Accrochant follement aux herbes ses haillons
D’argent ;
Elle se plie, s’avachit
Il se jette sur elle
Comme un fauve en furie
Tire ses cheveux la traine
Dans les herbes hautes
Elle s’étouffe impuissante
Les cailloux brûlent ses cotes
Est-elle encore vivante
Elle se débat, s’épuise
Il la cogne dans la nuit
Tiens ses mains la maitrise
La lune austère luit…
Il lui arrache sa robe
Le vent déchire sa peau
Il la traite de salope
Elle voit son tombeau
Les fleurs de son enfance
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Il la traque
L’agrippe
L’attrape
Elle s’échappe
Elle dérape
Elle tombe
Sans secours
Se relève
Elle a peur
Elle hurle
Il la rattrape
Elle pleure
Il la matraque
Elle craque
C’est un trou de verdure où ne chante aucune rivière
Accrochant follement aux herbes ses haillons
D’argent ;
Elle se plie, s’avachit
Il se jette sur elle
Comme un fauve en furie
Tire ses cheveux la traine
Dans les herbes hautes
Elle s’étouffe impuissante
Les cailloux brûlent ses cotes
Est-elle encore vivante
Elle se débat, s’épuise
Il la cogne dans la nuit
Tiens ses mains la maitrise
La lune austère luit…
Il lui arrache sa robe
Le vent déchire sa peau
Il la traite de salope
Elle voit son tombeau
Les fleurs de son enfance
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
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Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
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Le regard fade
Il la regarde
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Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
L’attrape
Elle s’échappe
Elle dérape
Elle tombe
Sans secours
Se relève
Elle a peur
Elle hurle
Il la rattrape
Elle pleure
Il la matraque
Elle craque
C’est un trou de verdure où ne chante aucune rivière
Accrochant follement aux herbes ses haillons
D’argent ;
Elle se plie, s’avachit
Il se jette sur elle
Comme un fauve en furie
Tire ses cheveux la traine
Dans les herbes hautes
Elle s’étouffe impuissante
Les cailloux brûlent ses cotes
Est-elle encore vivante
Elle se débat, s’épuise
Il la cogne dans la nuit
Tiens ses mains la maitrise
La lune austère luit…
Il lui arrache sa robe
Le vent déchire sa peau
Il la traite de salope
Elle voit son tombeau
Les fleurs de son enfance
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Elle s’échappe
Elle dérape
Elle tombe
Sans secours
Se relève
Elle a peur
Elle hurle
Il la rattrape
Elle pleure
Il la matraque
Elle craque
C’est un trou de verdure où ne chante aucune rivière
Accrochant follement aux herbes ses haillons
D’argent ;
Elle se plie, s’avachit
Il se jette sur elle
Comme un fauve en furie
Tire ses cheveux la traine
Dans les herbes hautes
Elle s’étouffe impuissante
Les cailloux brûlent ses cotes
Est-elle encore vivante
Elle se débat, s’épuise
Il la cogne dans la nuit
Tiens ses mains la maitrise
La lune austère luit…
Il lui arrache sa robe
Le vent déchire sa peau
Il la traite de salope
Elle voit son tombeau
Les fleurs de son enfance
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Elle tombe
Sans secours
Se relève
Elle a peur
Elle hurle
Il la rattrape
Elle pleure
Il la matraque
Elle craque
C’est un trou de verdure où ne chante aucune rivière
Accrochant follement aux herbes ses haillons
D’argent ;
Elle se plie, s’avachit
Il se jette sur elle
Comme un fauve en furie
Tire ses cheveux la traine
Dans les herbes hautes
Elle s’étouffe impuissante
Les cailloux brûlent ses cotes
Est-elle encore vivante
Elle se débat, s’épuise
Il la cogne dans la nuit
Tiens ses mains la maitrise
La lune austère luit…
Il lui arrache sa robe
Le vent déchire sa peau
Il la traite de salope
Elle voit son tombeau
Les fleurs de son enfance
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Se relève
Elle a peur
Elle hurle
Il la rattrape
Elle pleure
Il la matraque
Elle craque
C’est un trou de verdure où ne chante aucune rivière
Accrochant follement aux herbes ses haillons
D’argent ;
Elle se plie, s’avachit
Il se jette sur elle
Comme un fauve en furie
Tire ses cheveux la traine
Dans les herbes hautes
Elle s’étouffe impuissante
Les cailloux brûlent ses cotes
Est-elle encore vivante
Elle se débat, s’épuise
Il la cogne dans la nuit
Tiens ses mains la maitrise
La lune austère luit…
Il lui arrache sa robe
Le vent déchire sa peau
Il la traite de salope
Elle voit son tombeau
Les fleurs de son enfance
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Elle hurle
Il la rattrape
Elle pleure
Il la matraque
Elle craque
C’est un trou de verdure où ne chante aucune rivière
Accrochant follement aux herbes ses haillons
D’argent ;
Elle se plie, s’avachit
Il se jette sur elle
Comme un fauve en furie
Tire ses cheveux la traine
Dans les herbes hautes
Elle s’étouffe impuissante
Les cailloux brûlent ses cotes
Est-elle encore vivante
Elle se débat, s’épuise
Il la cogne dans la nuit
Tiens ses mains la maitrise
La lune austère luit…
Il lui arrache sa robe
Le vent déchire sa peau
Il la traite de salope
Elle voit son tombeau
Les fleurs de son enfance
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Il la rattrape
Elle pleure
Il la matraque
Elle craque
C’est un trou de verdure où ne chante aucune rivière
Accrochant follement aux herbes ses haillons
D’argent ;
Elle se plie, s’avachit
Il se jette sur elle
Comme un fauve en furie
Tire ses cheveux la traine
Dans les herbes hautes
Elle s’étouffe impuissante
Les cailloux brûlent ses cotes
Est-elle encore vivante
Elle se débat, s’épuise
Il la cogne dans la nuit
Tiens ses mains la maitrise
La lune austère luit…
Il lui arrache sa robe
Le vent déchire sa peau
Il la traite de salope
Elle voit son tombeau
Les fleurs de son enfance
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Il la matraque
Elle craque
C’est un trou de verdure où ne chante aucune rivière
Accrochant follement aux herbes ses haillons
D’argent ;
Elle se plie, s’avachit
Il se jette sur elle
Comme un fauve en furie
Tire ses cheveux la traine
Dans les herbes hautes
Elle s’étouffe impuissante
Les cailloux brûlent ses cotes
Est-elle encore vivante
Elle se débat, s’épuise
Il la cogne dans la nuit
Tiens ses mains la maitrise
La lune austère luit…
Il lui arrache sa robe
Le vent déchire sa peau
Il la traite de salope
Elle voit son tombeau
Les fleurs de son enfance
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
C’est un trou de verdure où ne chante aucune rivière
Accrochant follement aux herbes ses haillons
D’argent ;
Elle se plie, s’avachit
Il se jette sur elle
Comme un fauve en furie
Tire ses cheveux la traine
Dans les herbes hautes
Elle s’étouffe impuissante
Les cailloux brûlent ses cotes
Est-elle encore vivante
Elle se débat, s’épuise
Il la cogne dans la nuit
Tiens ses mains la maitrise
La lune austère luit…
Il lui arrache sa robe
Le vent déchire sa peau
Il la traite de salope
Elle voit son tombeau
Les fleurs de son enfance
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
D’argent ;
Elle se plie, s’avachit
Il se jette sur elle
Comme un fauve en furie
Tire ses cheveux la traine
Dans les herbes hautes
Elle s’étouffe impuissante
Les cailloux brûlent ses cotes
Est-elle encore vivante
Elle se débat, s’épuise
Il la cogne dans la nuit
Tiens ses mains la maitrise
La lune austère luit…
Il lui arrache sa robe
Le vent déchire sa peau
Il la traite de salope
Elle voit son tombeau
Les fleurs de son enfance
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Elle se plie, s’avachit
Il se jette sur elle
Comme un fauve en furie
Tire ses cheveux la traine
Dans les herbes hautes
Elle s’étouffe impuissante
Les cailloux brûlent ses cotes
Est-elle encore vivante
Elle se débat, s’épuise
Il la cogne dans la nuit
Tiens ses mains la maitrise
La lune austère luit…
Il lui arrache sa robe
Le vent déchire sa peau
Il la traite de salope
Elle voit son tombeau
Les fleurs de son enfance
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
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Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
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Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Comme un fauve en furie
Tire ses cheveux la traine
Dans les herbes hautes
Elle s’étouffe impuissante
Les cailloux brûlent ses cotes
Est-elle encore vivante
Elle se débat, s’épuise
Il la cogne dans la nuit
Tiens ses mains la maitrise
La lune austère luit…
Il lui arrache sa robe
Le vent déchire sa peau
Il la traite de salope
Elle voit son tombeau
Les fleurs de son enfance
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
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Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
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Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
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Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Dans les herbes hautes
Elle s’étouffe impuissante
Les cailloux brûlent ses cotes
Est-elle encore vivante
Elle se débat, s’épuise
Il la cogne dans la nuit
Tiens ses mains la maitrise
La lune austère luit…
Il lui arrache sa robe
Le vent déchire sa peau
Il la traite de salope
Elle voit son tombeau
Les fleurs de son enfance
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
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Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Les cailloux brûlent ses cotes
Est-elle encore vivante
Elle se débat, s’épuise
Il la cogne dans la nuit
Tiens ses mains la maitrise
La lune austère luit…
Il lui arrache sa robe
Le vent déchire sa peau
Il la traite de salope
Elle voit son tombeau
Les fleurs de son enfance
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Elle se débat, s’épuise
Il la cogne dans la nuit
Tiens ses mains la maitrise
La lune austère luit…
Il lui arrache sa robe
Le vent déchire sa peau
Il la traite de salope
Elle voit son tombeau
Les fleurs de son enfance
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Tiens ses mains la maitrise
La lune austère luit…
Il lui arrache sa robe
Le vent déchire sa peau
Il la traite de salope
Elle voit son tombeau
Les fleurs de son enfance
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Il lui arrache sa robe
Le vent déchire sa peau
Il la traite de salope
Elle voit son tombeau
Les fleurs de son enfance
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Le vent déchire sa peau
Il la traite de salope
Elle voit son tombeau
Les fleurs de son enfance
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Elle voit son tombeau
Les fleurs de son enfance
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
La plaine au bord de l’eau
Son corps sans défense
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
S’éloigne de son cerveau
Ses cris d’appels à l’aide
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Se perdent dans le fracas
De la rame du RER
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Qui camouflent sa voix
Il l’étouffe
Elle meurt
Ne crie plus
Au secours
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
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Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
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La brise sans répit
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Heureuse de sa vie
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Dieu pourrait-il la croire
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Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
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Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
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Il la regarde
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Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
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Sans amertume
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Il n’a pas peur
Il est soulagé
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Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
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Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Ne crie plus
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Il la frappe
Elle hurle
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Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
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Le regard fade
Il la regarde
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Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Elle se débat
Une ultime fois
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
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Le regard fade
Il la regarde
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Sans panique
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Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
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Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Un sursaut
Avant la mort
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Il la frappe
Elle hurle
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
De tout son corps
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Il la cogne
La matraque
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
C’est le noir
Le brouillard
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Le ballast
Les étoiles
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
S’effacent
Elle a froid
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Rien ne chante
Ni la rivière
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Dans son lit vert
Elle est étendue dans l’herbe sous la nue,
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Le visage pâle sous les cailloux gris
Où la lumière fuit…
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Il s’archane sur elle
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
La brise sans répit
Elle revoit ses scènes
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Heureuse de sa vie
Il n’y a plus d’espoir
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Nul ne viendra la sauver
Dieu pourrait-il la croire
Elle qui n’a pas pêcher
Elle pense à son enfant
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
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Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Elle qui n’a pas pêcher
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Là-bas près des glaïeuls
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Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Là-bas près des glaïeuls
Le regard insouciant
Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
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Il apprendra son deuil
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
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Sans amertume
Va au bordel
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Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Dans ce trou de verdure
Où ne chante aucune rivière
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
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Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
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Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Juste des cris de torture
Couvert par le rer
Dans le sale cresson bleu.
Une jeune femme s’endort
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
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Rejoint la cité
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S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Sur un terrain crasseux
Seule sans réconfort
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Les mains sur la poitrine
Sa nuque brisée baigne
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Dans une flaque d’urine
Où ses veines saignent
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Elle n’a plus froid
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Plus peur
Elle ne crie plus
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Au secours
Elle est calme
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Le regard fade
Il la regarde
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Ferme ses paupières
Sans panique
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Sans regret
Sans amour
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Il longe le ballast
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Rejoint la cité
Sans amertume
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Va au bordel
S’accoude au comptoir
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Commande une bière
Il n’a pas peur
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Il est soulagé
Sa vie reprend son cours
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Il entend le RER
Qui longe la rivière
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Nature, berce-la chaudement : elle a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Elle dort sans soleil, les mains sur sa poitrine,
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Terrorisée. Nul trou rouge au côté droit.
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Bruno V. - Voix
Bruno V. - Guitares
Mix: Serge Bianne (Studio Aturri Mouguerre)
8 septembre 2022